Last of Us est certainement l’un de mes jeux favoris, si ce n’est mon préféré, sur Playstation 3. J’ai récemment eu le plaisir de redécouvrir cette œuvre exceptionnelle. Cependant, le seul bémol est son prix élevé. On aurait pu s’attendre à une réduction pour ceux qui avaient déjà acheté le jeu en version dématérialisée en 2013. Mais revenons au jeu lui-même.
Dans un monde dévasté où les infectés et les survivants endurcis se mêlent, Joel, un protagoniste désabusé, est engagé pour faire sortir Ellie, une adolescente de 14 ans, d’une zone de quarantaine militaire. Ce qui aurait dû être une mission de routine se transforme rapidement en un dangereux périple à travers le pays.
L’un des points forts majeurs de ce jeu est sa narration, qui constitue l’élément central de l’expérience. La narration directe, subie par le joueur, est accompagnée de récits indirects (via des notes classiques) et environnementaux, où les éléments de décor et des situations particulières nous dévoilent également l’histoire passée de cet univers. Comme pour les derniers jeux auxquels j’ai joué, j’ai tenté de me mettre dans la peau d’un photographe qui vivrait ces aventures, même si, dans la réalité, j’aurais sans doute été en danger à chaque instant.
Une histoire captivante.
Un monde rempli de dangers.
Un monde vivant.
Un environnement riche.
Cette expérience est à la fois poignante et marquante. Le scénario et l’ambiance du jeu me marquent profondément depuis neuf ans. Dès la fin du générique, j’ai une seule envie : rejouer au deuxième opus (vous pourrez retrouver mes photos ici). Par ailleurs, l’année prochaine, HBO sortira une adaptation de ce jeu en série. La série est créée par Craig Mazin (connu pour Chernobyl) et Neil Druckmann (le réalisateur des jeux).
Fun fact : Voici le seul véritable bug que j’ai rencontré dans le jeu (quelques problèmes de collision parfois, mais rien de majeur). Voici l’arc à pompe !
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